Engagement des ONG de Droits de l’Homme : Dr Mateus KANGA LONDIMO sollicite leur implication pour améliorer la gestion provinciale
Lors d’une rencontre cruciale tenue ce mercredi 04 Septembre à Kisangani, le président de l’Assemblée provinciale de la Tshopo, Dr Mateus KANGA LONDIMO, a appelé les membres des organisations de droits de l’homme à renforcer leur rôle pour encourager une gestion plus efficace de la province. Cette réunion, qui a réuni divers acteurs de la société civile, visait à examiner le rôle essentiel des ONG dans l’amélioration de la gouvernance provinciale.
« Je vous appelle à jouer votre partition pour faire bouger les lignes dans la gestion de la province », a exhorté Dr Mateus KANGA. Ce message souligne la nécessité pour les organisations de droits de l’homme de devenir des catalyseurs actifs dans le processus de réformes administratives et de gestion au niveau provincial. Le président de l’APT a insisté sur l’importance d’une vigilance accrue et d’une participation plus engagée de la part de ces organisations pour promouvoir la transparence et la responsabilité dans l’administration provinciale.
Au cours de cette réunion, les discussions ont porté sur les défis persistants rencontrés par la province en matière de gouvernance et les moyens par lesquels les ONG peuvent jouer un rôle de médiation et de contrôle. Les représentants des organisations ont été encouragés à collaborer étroitement avec les autorités locales pour identifier les zones nécessitant des améliorations et proposer des solutions concrètes.
Cette rencontre s’inscrit dans un contexte où la Tshopo, comme de nombreuses autres provinces, est confrontée à des problématiques liées à la gestion des ressources et à la mise en œuvre de politiques publiques efficaces. L’appel du président de l’Assemblée provinciale représente un effort stratégique pour mobiliser la société civile en tant que partenaire dans la quête d’une meilleure gouvernance.
L’engagement des organisations de droits de l’homme est crucial pour renforcer le dialogue entre les citoyens et les autorités, et pour garantir que les préoccupations des communautés locales soient correctement adressées. Par ailleurs, une telle collaboration peut également offrir une meilleure visibilité sur les processus décisionnels et aider à instaurer une culture de responsabilité et d’intégrité au sein des institutions provinciales.
En conclusion, l’appel lancé par Dr Mateus KANGA LONDIMO marque un tournant significatif dans la relation entre les autorités provinciales et la société civile. En encourageant les organisations de droits de l’homme à jouer un rôle actif, l’assemblée provinciale de la Tshopo aspire à catalyser des réformes et à améliorer la gestion de la province, dans l’intérêt de ses citoyens.
LA RÉDACTION
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