Le Ministre Alexis GISARO et l’AFC : Vers une accélération du projet Métro-Kin

Le mardi 2 juillet 2024, dans son bureau, le Ministre d’État aux Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction (ITP), Alexis GISARO, a eu une réunion importante avec une délégation du groupe Africa Finance Corporation (AFC). Cette organisation, en partenariat avec Alstom, un géant mondial dans la construction des infrastructures ferroviaires, joue un rôle crucial dans le développement du projet Métro-Kin.

Lors de cette rencontre, l’AFC a présenté un rapport détaillé sur les progrès réalisés et les difficultés rencontrées. L’accent a été mis sur les aspects techniques et légaux, où des avancées significatives ont été notées. Mame-Bigue Ba, associée au projet, a souligné : « Sachant que l’AFC est impliquée aux côtés de Métro-Kin sur ce projet depuis le début en tant que développeur principal, nous avons travaillé sur tous les chantiers de développement technique et légaux qui nous ont permis d’avoir des avancées significatives jusqu’à présent ». Le Ministre Alexis GISARO, manifestement engagé dans la réussite de ce projet ambitieux, a rassuré ses interlocuteurs concernant les préoccupations soulevées, notamment la libération des emprises ferroviaires et la fourniture de l’électricité. « Il était très respectif par rapport à tous les challenges qu’on a évoqués. Les principales difficultés sont liées à la libération des emprises et la fourniture de l’électricité pour le projet », a ajouté Mame-Bigue Ba. La rencontre a également permis de planifier les prochaines étapes, incluant des discussions avec le Ministre des Finances et d’autres parties prenantes. La collaboration étroite entre les différentes entités est essentielle pour surmonter les obstacles et garantir le succès du projet Métro-Kin, qui promet de révolutionner le transport urbain à Kinshasa. Le projet Métro-Kin, en plus de son impact sur la mobilité, vise à stimuler le développement économique et urbain de la capitale congolaise, en créant des emplois et en améliorant l’infrastructure. LA RÉDACTION